Génogramme professionnel
- Roland Constantin
- 13 mai
- 11 min de lecture
Plan général – Génogramme professionnel
Origines et ancrage théorique : du génogramme familial au génogramme professionnel
Objectifs de l’outil : visualisation, prise de conscience, loyautés invisibles
Méthodologie : construction, codification, analyse
Apports en coaching individuel et d’équipe
Liens avec les approches systémiques, transgénérationnelles et narratives
Limites, précautions et posture du praticien
Études de cas et exemples d’utilisation
Annexe bibliographique + fiche coaché
I. ORIGINES ET ANCRAGE THÉORIQUE DU GÉNOGRAMME PROFESSIONNEL
1.1 Le génogramme : une lecture systémique de la famille
Origine :
Le génogramme a été développé dans les années 1970 par Monica McGoldrick et Randy Gerson, au sein du courant de la thérapie familiale systémique.
Définition :
Un génogramme est une représentation graphique structurée d’un système relationnel, généralement familial, sur trois générations.
Il ne s’agit pas d’un arbre généalogique, mais d’un outil d’analyse des dynamiques, des répétitions, des ruptures, des secrets et des loyautés.
Il permet d’explorer non seulement les faits, mais aussi les charges émotionnelles, les injonctions implicites et les fidélités invisibles.
Références :
McGoldrick, M., Gerson, R., & Petry, S. (2008). Genograms: Assessment and Intervention. Norton.
1.2 Du génogramme familial au génogramme professionnel
Le génogramme professionnel reprend les principes du génogramme familial, mais les applique :
à l’histoire professionnelle de la personne
ou à la culture d’une entreprise ou d’une équipe
Il s’appuie sur deux constats fondamentaux :
Nos choix professionnels sont influencés par des histoires transmises, parfois silencieusement
Il existe des loyautés symboliques intergénérationnelles (parent, mentor, modèle), qui guident ou freinent nos trajectoires
L’outil permet de rendre visibles ces influences, de distinguer ce qui est choisi de ce qui est hérité, et d’identifier les répétitions ou ruptures signifiantes.
1.3 Théories sous-jacentes
A. Approche systémique (Bateson, Watzlawick)
out individu appartient à des systèmes (famille, entreprise, culture) qui influencent sa perception, ses choix, ses blocages.
Le génogramme permet de visualiser les boucles de rétroaction, les hiérarchies, les doubles contraintes.
B. Psychogénéalogie et loyautés invisibles (Boszormenyi-Nagy)
Certaines « dettes symboliques » (attentes non exprimées, rêves non réalisés par un aïeul, figures parentales idéalisées…) peuvent influencer nos décisions sans que nous en soyons conscients.
C. Théorie des scripts de vie (Berne, analyse transactionnelle)
L’individu construit son scénario de vie par identification, opposition ou répétition, souvent à partir de modèles familiaux.
Le génogramme aide à retracer l’origine de ces scripts, notamment dans la sphère professionnelle.
D. Théorie des rôles et positionnement identitaire (White, Goffman)
Nous « portons » des rôles professionnels qui peuvent être hérités, imposés, ou choisis.
Le génogramme met en lumière la nature de ces rôles et leurs effets sur la construction de soi.
II. OBJECTIFS DU GÉNOGRAMME PROFESSIONNEL
2.1 Rendre visibles les dynamiques invisibles
Le premier objectif du génogramme professionnel est de mettre en lumière ce qui agit sans être conscientisé dans les trajectoires professionnelles :
Rééditions de schémas : types de rôles, conflits récurrents, échecs semblables
Fidélités implicites : à un parent, à une mission familiale, à une culture d’entreprise
Rupts : choix de rupture symbolique (changement de secteur, rejet d’un modèle)
Silences porteurs de sens : non-dits autour du travail dans la famille, tabous (burn-out, licenciements, échecs…)
Exemple :
Une personne change souvent de poste tous les trois ans. En retraçant l’histoire, on découvre que chaque génération a vécu une rupture professionnelle violente à cet âge.
2.2 Permettre une relecture de son identité professionnelle
Le génogramme est un support d’exploration identitaire, qui aide à répondre aux questions :
Qui suis-je dans mes choix professionnels ?
Qu’est-ce qui m’a poussé vers ce métier, ce type de structure, ce rôle ?
Quelle est la part héritée et la part choisie dans mon parcours ?
L’objectif n’est pas de trouver une origine « déterminante », mais d’ouvrir un dialogue avec son histoire professionnelle.
2.3 Identifier des loyautés invisibles et des autorisations manquantes
Loyautés invisibles :
Le génogramme permet d’identifier des mécanismes de reproduction ou de compensation inconscientes, tels que :
« Je dois réussir là où mon père a échoué »
« Je ne peux pas faire mieux que ma mère »
« Je reste dans le salariat, car entreprendre serait renier mes origines »
Autorisations manquantes :
Certaines personnes ne se sentent pas autorisées à changer de voie, à gagner plus, à entreprendre, à ralentir…
Le génogramme permet de nommer ces freins symboliques, puis d’ouvrir un espace de décision lucide et autonome.
2.4 Soutenir un processus de recentrage ou de transformation
Le génogramme peut être utilisé :
en début de coaching pour poser les fondations identitaires
en phase de transition pour éclairer un choix, dépasser une peur, clore une étape
en fin de parcours pour renforcer l’alignement
Objectif :
Aider la personne à redevenir sujet de son itinéraire, en s’affranchissant des injonctions non conscientes et en se reliant aux valeurs et désirs profonds qui traversent son histoire.
2.5 En coaching d’équipe : déplier les héritages culturels
Dans un collectif, le génogramme permet de :
Visualiser l’histoire institutionnelle ou sectorielle
Identifier les valeurs matricielles de l’organisation
Repérer les récits partagés ou concurrents (modèle du fondateur, mythe de la croissance, culture du sacrifice…)
Il peut devenir un outil d’inclusion, de transmission ou de clarification stratégique.
III. MÉTHODOLOGIE : CONSTRUCTION, CODIFICATION, ANALYSE
3.1 Choix du cadre temporel et générationnel
Nombre de générations :
Idéalement trois générations (parents, personne accompagnée, éventuellement grands-parents ou enfants)
Mais le génogramme peut être centré uniquement sur la personne et ses relations significatives (collègues, mentors, figures symboliques…)
Éléments à collecter :
Professions occupées
Types de contrats (CDI, CDD, freelance, chômage)
Moments de rupture (licenciement, burn-out, reconversion)
Successions d’échecs ou de réussites
Rôles familiaux liés au travail (parent absent, soutien financier, héritier d’entreprise…)
L’objectif est de retracer une ligne de transmission professionnelle, qu’elle soit explicite ou implicite.
3.2 Représentation graphique : formes et conventions
Schéma de base :
Carré pour les hommes
Cercle pour les femmes
Double encadrement : si figure marquante (modèle, personne inspirante)
Traits pleins : relations fortes, transmissions visibles
Pointillés : relations distantes ou implicites
Traits barrés : ruptures, rejets symboliques
Informations à inclure :
Nom, âge, métier(s)
Dates ou périodes-clés
Événements symboliques (passage de témoin, interdit, conflit, épuisement…)
Exemples de symboles supplémentaires :
Symbole | Signification |
Flèche ascendante | Identification/loyauté |
Flèche descendante | Rejet/rupture |
Spirale | Répétition de schéma |
Étoile | Décision-clé, acte fondateur |
Il est possible de travailler au crayon sur feuille, ou à l’aide d’un logiciel de mind mapping, voire d’un tableau blanc en séance.
3.3 Phases d’exploration et d’analyse
Phase 1 : récit spontané
Laisser la personne nommer les figures importantes
Demander : Qui, dans ta famille ou ton entourage, t’a inspiré ou marqué dans ta relation au travail ?
Explorer les émotions associées aux figures : admiration, colère, culpabilité, fierté…
Phase 2 : repérage des dynamiques
Répétitions : types de métiers ? positions sociales ? relations au pouvoir ?
Ruptures : qui a fait différemment ? à quel moment ? pourquoi ?
Loyautés implicites : quels modèles semblent « interdits » ? lesquels semblent « exigés » ?
Phase 3 : formulation de sens
Que dis-tu de ton propre parcours à la lumière de cette histoire ?
Qu’est-ce qui t’a influencé positivement ? Négativement ?
Que veux-tu continuer, arrêter, transformer dans cette lignée ?
3.4 Posture du praticien dans cette étape
Posture | Concrètement |
Curiosité respectueuse | Poser des questions ouvertes, sans interpréter |
Non-directivité | Ne pas chercher de « vérité causale », mais du sens subjectif |
Écoute symbolique | Relever les mots qui reviennent, les métaphores, les charges émotionnelles |
Ancrage dans le présent | Ramener toujours à la question : Et aujourd’hui, que veux-tu faire de cette histoire ? |
Très bien. Voici la Partie IV – Apports du génogramme professionnel en coaching, structurée autour des bénéfices concrets que l’outil peut offrir, que ce soit en accompagnement individuel ou en démarche collective.
IV. APPORTS EN COACHING INDIVIDUEL ET D’ÉQUIPE
4.1 En coaching individuel : faire émerger une posture consciente
Le génogramme permet au coaché de :
a. Clarifier ses moteurs implicites
Pourquoi ai-je choisi ce métier ?
Suis-je en train de suivre une trajectoire qui m’appartient ?
Suis-je en train de réparer quelque chose ?
b. Débusquer les injonctions silencieuses
« Il faut être utile. »
« Il faut gagner plus que son père. »
« Il ne faut jamais dépendre de personne. »
Ces phrases ne sont souvent ni conscientes ni formulées, mais elles orientent les décisions et nourrissent des tensions internes.
c. Réintégrer des ressources oubliées
Parfois, un grand-parent ou un parent a vécu une transition, un engagement, un acte courageux : cela peut devenir un appui symbolique pour aujourd’hui.
Le génogramme devient alors un outil de reconnaissance transgénérationnelle et de transformation de l’héritage.
4.2 En coaching d’équipe : compréhension du système collectif
Dans une équipe, ou un collectif dirigeant, le génogramme peut être utilisé pour :
a. Cartographier l’histoire de l’organisation
Fondateur, crises, fusions, conflits passés, figures clés
Cultures professionnelles d’origine (banque, santé, associatif, etc.)
b. Identifier les récits porteurs ou enfermants
« Ici, on ne se plaint pas. »
« Il faut travailler dur pour mériter sa place. »
« Nous sommes une entreprise familiale, on se soutient. »
Ces récits peuvent être rassembleurs ou limitants, selon la manière dont ils sont intégrés.
c. Mettre à jour les tensions symboliques
Entre anciens et nouveaux
Entre stabilité et innovation
Entre loyauté au passé et désir d’évolution
Le génogramme devient ici un outil de médiation culturelle, permettant de formuler ce qui est souvent tu ou diffus.
4.3 En coaching de transition : tracer une ligne de continuité signifiante
Pour un client en phase de changement, le génogramme aide à :
Comprendre ce qui se rejoue dans une reconversion, un départ, une prise de poste
Identifier ce qui peut être transmis différemment : sans se répéter ni se trahir
Poser un récit d’évolution qui respecte à la fois l’héritage et l’autonomie
Exemple :
Un client qui quitte un cabinet d’avocat familial peut, grâce au génogramme, reformuler son départ non comme une trahison, mais comme une extension du combat pour la justice, porté différemment.
V. LIENS AVEC LES APPROCHES SYSTÉMIQUES, TRANSGÉNÉRATIONNELLES ET NARRATIVES
Permet d’ancrer le génogramme professionnel dans un réseau de références théoriques complémentaires. Cette intégration renforce sa légitimité, sa profondeur et son efficacité en coaching.
5.1 Approche systémique
Fondements :
L’approche systémique considère l’individu comme inscrit dans un réseau de relations où tout comportement a un sens dans un système donné.
Le génogramme professionnel est une application directe de ce principe, en visualisant l’individu comme porteur d’un système professionnel, hérité, choisi, conflictuel ou en évolution.
Liens spécifiques :
Boucles de rétroaction : schémas répétitifs dans les trajectoires
Homéostasie : mécanismes de maintien ou de retour à une norme implicite
Place dans le système : attentes implicites assignées à un rôle
Références :
Bateson, G. (1972). Steps to an Ecology of Mind
Watzlawick, P. et al. (1972). Une logique de la communication
5.2 Approche transgénérationnelle
Fondements :
Le génogramme professionnel permet d’identifier les transmissions psychiques et symboliques entre générations, même en dehors de la sphère familiale directe.
Concepts clés :
Loyautés invisibles (Boszormenyi-Nagy) : dettes morales non dites envers une figure
Secrets ou silences professionnels : ce que l’on n’a jamais su sur la trajectoire d’un parent
Projet parental inconscient (A. A. Schützenberger) : attentes de réussite, de réparation, de continuation
Le génogramme devient ainsi un outil de décodage des héritages identitaires, en lien avec les parcours professionnels.
Références :
Schützenberger, A. A. (1993). Aïe, mes aïeux !
Boszormenyi-Nagy, I., & Spark, G. M. (1973). Invisible Loyalties
5.3 Approche narrative
Fondements :
Dans la lignée de Michael White et David Epston, le génogramme peut être lu comme un dispositif narratif de reconstruction identitaire.
Application narrative :
Il révèle l’histoire que la personne se raconte sur son rapport au travail
Il permet d’externaliser les récits dominants transmis (« il faut se battre », « il faut sécuriser »)
Il aide à co-construire un récit préféré, assumé, choisi, qui s’inscrit dans l’histoire mais ne s’y enferme pas
Questions typiques d’orientation narrative :
Quelle histoire veux-tu continuer ? Laquelle as-tu besoin de transformer ?
Et si tu étais le premier ou la première à écrire un autre chapitre, que dirait-il ?
VI. LIMITES, PRÉCAUTIONS ET POSTURE DU PRATICIEN
Cette partie est essentielle pour garantir une utilisation éthique, ajustée et respectueuse de cet outil puissant mais potentiellement sensible.
6.1 Limites de l’outil
a. Ce n’est pas un outil de diagnostic
Le génogramme n’a pas vocation à “expliquer” une trajectoire de manière causale.
Il ne s’agit pas de produire un « schéma explicatif » rigide, mais de favoriser une prise de conscience évolutive.
b. Il ne dit rien sans le récit
Un génogramme sans narration n’est qu’un dessin abstrait.
L’essentiel est dans l’histoire que la personne raconte à partir du schéma, et dans les mots qu’elle pose sur ses ressentis, ses ruptures, ses fidélités.
c. Il peut activer des mémoires sensibles
Évoquer certains épisodes (licenciement, échec familial, trahison) peut raviver des émotions fortes.
Le praticien doit être prêt à accueillir ces mouvements, sans forcer le récit ni minimiser son impact.
6.2 Précautions d’usage
Zone de vigilance | Recommandations |
Résonances émotionnelles | Prévoir un espace d’intégration après le travail sur le génogramme |
Informations floues ou absentes | Respecter les zones de silence sans pression ; ne pas « compléter » à la place |
Risques de sur-interprétation | Éviter toute lecture figée ou symbolique forcée (ex. : “Tu es entrepreneur parce que ton grand-père ne l’a jamais osé…”) |
Respect du rythme | Parfois, une seule génération suffit ; parfois, le travail se fait en plusieurs séances espacées |
6.3 Posture du praticien
a. Posture systémique
Voir l’histoire du coaché comme une expression d’un système plus large, et non comme un défaut individuel
Rester curieux des dynamiques relationnelles, pas uniquement des faits biographiques
b. Posture narrative
Laisser la personne choisir le sens qu’elle donne à ce qu’elle explore
Poser des questions qui ouvrent le récit plutôt que de vouloir le décoder
c. Posture éthique
Ne pas chercher à “révéler” quelque chose que le coaché n’est pas prêt à entendre
Accueillir la complexité sans vouloir la résoudre : parfois, le génogramme apporte plus de questions que de réponses — et c’est fécond
Le rôle du praticien n’est pas d’analyser une carte, mais d’accompagner un être humain dans l’exploration de ses lignées, ses ruptures et ses choix.
VII. ÉTUDES DE CAS ET EXEMPLES D’UTILISATION
Cas 1 – Coaching de reconversion : “Je n’arrive pas à me lancer”
Contexte :
Ismaël, 38 ans, veut quitter son poste de cadre pour créer sa propre structure. Il a des idées claires, mais se bloque systématiquement à l’étape de concrétisation.
Travail sur le génogramme :
Le père d’Ismaël a été commerçant, en faillite à l’âge de 40 ans. Son grand-père était cheminot à vie.
Le récit familial associe entrepreneuriat à danger, humiliation et perte de dignité.
En retraçant cela, Ismaël identifie une peur inconsciente de reproduire l’échec et de trahir la stabilité valorisée dans sa lignée.
Transformation :
Le travail permet de formuler un récit alternatif :
« Je ne suis pas en train de renier mes origines, mais d’inventer une autre manière de faire honneur à leur courage. »
Il décide alors de tester son activité en parallèle, dans une logique d’exploration sécurisée.
Cas 2 – Coaching de posture : “Je me sens toujours trop gentil”
Contexte :
Clément, 46 ans, manager expérimenté, a du mal à poser des limites claires. Il veut évoluer, mais reste perçu comme « trop arrangeant ».
Génogramme professionnel :
Mère infirmière, père éducateur spécialisé
Famille marquée par la valeur du dévouement
On découvre que dans trois générations, les figures masculines ont toujours été dans le soin ou l’aide, parfois jusqu’à l’épuisement.
Déclic :
Clément comprend qu’il rejoue une loyauté invisible au rôle de “soutien discret”, et qu’il s’interdit inconsciemment d’incarner une autorité claire.
Il reformule son objectif ainsi : « Je veux honorer cette lignée du soin, mais en devenant un cadre qui protège son équipe par des décisions fermes. »
Cas 3 – Atelier collectif : culture d’entreprise en mutation
Contexte :
Une PME familiale passe entre les mains d’un nouveau comité de direction. Tensions entre « anciens » et « nouveaux ».
Dispositif :
Chaque membre de l’équipe trace son histoire professionnelle en 5 figures :
Métier de ses parents
Première expérience marquante
Poste le plus difficile
Modèle d’inspiration
Moment de rupture ou de choix fondateur
Résultat :
Les récits sont partagés en cercle
Des schémas communs émergent (héritage de la loyauté, peur de trahir les anciens, désir d’écrire une autre page)
Le génogramme devient ici un espace de reconnaissance mutuelle et d’ouverture culturelle, permettant de faire coexister la mémoire du passé et le projet de transformation.
Annexe – Références bibliographiques : Génogramme professionnel
Voici une sélection de références théoriques et pratiques ayant inspiré et étayé le travail autour du génogramme professionnel. Elles couvrent la thérapie systémique, l’approche transgénérationnelle, la narration identitaire et le coaching organisationnel.
Thérapie systémique et génogramme
• McGoldrick, M., Gerson, R., & Petry, S. (2008). Genograms: Assessment and Intervention. Norton.
• Watzlawick, P., Helmick Beavin, J., & Jackson, D. D. (1972). Une logique de la communication. Seuil.
• Bateson, G. (1972). Steps to an Ecology of Mind. Chandler Publishing.
Approche transgénérationnelle
• Schützenberger, A. A. (1993). Aïe, mes aïeux !. Éditions Payot.
• Boszormenyi-Nagy, I., & Spark, G. M. (1973). Invisible Loyalties. Harper & Row.
Coaching et récit identitaire
• White, M. (2007). Maps of Narrative Practice. Norton.
• Denborough, D. (2014). Retelling the Stories of Our Lives. Norton.
• Goffman, E. (1959). The Presentation of Self in Everyday Life. Anchor Books.
Coaching et dynamique professionnelle
• Filliozat, I. (2012). La grammaire des émotions. JC Lattès.
• Barth, T. (2013). Le génogramme en coaching. Publication interne IFOD/DFSSU Paris 8.
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